En véritable phénomène de mode, l’engouement pour la cuisine japonaise a le vent en poupe dernièrement. Aujourd’hui, il n’est pas rare de croiser dans les différents restaurants, des amoureux, des familles, des collègues de bureau… aux heures ouvrables quel que soit le jour. Les services de livraisons à domicile et la possibilité de commander en ligne sur les différentes plateformes y jouent aussi un rôle prépondérant. Ne dérogeant pas à cette tendance, on dénombre dans la ville de Grenoble autant d’adeptes que de bonnes adresses.

Et si on mangeait japonais ?

A l’instar des gastronomies typées, la cuisine japonaise reflète toute une culture et les cérémonials autour de la préparation sont tout aussi intéressants que la cuisine en elle-même. Ainsi, avant de s’attaquer aux plats, la décoration, l’adresse des cuisiniers, le nom évocateur des plats vous plongent déjà dans une atmosphère typiquement zen japonaise tel qu’observé chez sushi grenoble. Ces préalables ne font qu’accentuer les différentes raisons pour lesquelles la gastronomie du soleil levant est si apprécié. Les divers mets et spécialités succulents reconnus internationalement font la fierté de la cuisine japonaise qui est réputée comme étant le plus sain du monde. Respectant pour la plupart les différentes recettes traditionnelles, les mets japonais sont des plats majoritairement végétariens, pauvres en viande rouge. En effet, le pays du soleil levant étant composé de nombreuses petites îles, ses habitants privilégient le poisson frais et les fruits de mer aux bétails domestiques. Les différents bouillons à base de légumes ou d’algues permettent l’élimination des graisses de manière saine. Enfin, des aliments réputés sains pour leurs apports en vitamines ou pour l’élimination des toxines comme le soja et le thé vert sont reconnus comme étant la source exceptionnelle de longévité des japonais.

Comment choisir son restaurant ?

En ces jours difficiles où le pouvoir d’achat tend de plus en plus à baisser, aller au restaurant constitue aujourd’hui un véritable budget que l’on n’aimerait pas regretter. Devant la multitude des offres, il est donc recommandé aux clients de se renseigner au préalable sur les cartes et les avis des clients. Pour les habitants de Grenoble, il existe pas mal d’adresses recensées et recommandées pour la cuisine nippone. Le produit star le plus demandé est incontestablement le sushi, ainsi, il n’est pas surprenant de voir les différentes enseignes en faire la spécialité. A l’instar des autres restaurants disséminés un peu partout dans l’hexagone, le sushi à Grenoble se déguste dans des établissements qui vous immergent complètement dans la culture japonaise à l’image de ce que nous avons évoqué précédemment. En véritable pionnier, il en est même des restaurants spécialisés qui proposent des associations aussi intrigantes qu’atypique entre la culture nippone et péruvienne. Ainsi, que vous soyez résidant ou simplement de passage, s’il vous prend l’envie de vouloir déguster un sushi à Grenoble, avant de vous décider, faites-vous une petite idée sur la toile.

Le service de livraison, une option supplémentaire

Au moment du confinement où les déplacements étaient restreints, les services de livraison ont passé un cap et constituent aujourd’hui une option supplémentaire dans le choix d’un restaurant. Plus tard, avec la levée des restrictions, devant les afflux et les nécessités de réservation et afin d’éviter les longues files d’attente, beaucoup ont décidé de conserver cette habitude de livraison. Il ne faut pas aussi oublier ceux qui y ont recours pour s’épargner le déplacement ou pour joindre l’utile à l’agréable, c’est-à-dire, manger au restaurant tout en restant chez soi. En effet, il faut savoir que la livraison de sushi vous garantit la disposition de la commande dans un laps de temps limité. De ce fait, si l’envie d’un délice oriental vous prend, pour avoir des produits frais et délicieux à domicile, optez pour la livraison de sushi

La pratique du sport est meilleure pour la santé et pour rester en forme. Vous pouvez par exemple pratiquer de la course à pied en montagne. Le nombre de personnes qui choisissent ce sport ne cessent d’augmenter tous les ans. Ces courses sont appelées des trails et les personnes qui pratiquent ce sport sont les traileurs. La course à pied se fait en abordant la montée d’une montagne puis de descendre en courant. Beaucoup trouvent du plaisir avant tout à pratiquer ce sport. Si vous êtes débutant dans le domaine, vous devez avoir un minimum de connaissances et de techniques pour éviter de se blesser pendant la course.

Le type de terrain à opter pour les débutants

Même si vous n’avez pas l’habitude de courir dans la montagne, la course à pied en montagne ressemble fortement aux courses de randonnées ou des trails de ville. La course à pied en montagne ne consiste pas toujours à courir, pour que vous puissiez bien profiter de l’activité, il vous faudra marcher surtout pendant la montée qui est très fatigante, nécessitant beaucoup d’énergie de votre part. Si vous êtes un coureur de ville, vous avez l’habitude de toujours courir et ne jamais marcher. Pour commencer la course à pied en montagne, empruntez d’abord les pistes forestières qui présentent de bons chemins. Vous pouvez vous familiariser facilement à la discipline en commençant sur ces pistes qui sont moins techniques. L’instabilité des sols des pistes forestières est faible. Pour les débutants, choisir les terrains moins accidentés et qui sont moins techniques sont idéales. Choisissez d’abord le meilleur itinéraire pour votre première course. L’itinéraire qui ne présente pas de fortes dénivelées sont à opter pour une approche optimale à la course à pied en montagne. Choisissez aussi les boucles courtes pour que vous puissiez être facilement dans le bain. Vous pouvez choisir un itinéraire pour débutant dans beaucoup de stations de course en montagne. N’hésitez pas à cliquer sur course en montagne pour plus d’informations concernant la course en montagne.

Comment aborder la montée en se servant des bâtons ?

Plus vous montez en altitude, plus l’oxygène présent dans l’air devient rare. Cette raréfaction de l’oxygène vous fait sentir que vous n’avancez pas assez lorsque vous courrez en montagne. Aussi, ça veut dire que vous grimpez de plus en plus. Vous devez alors connaître le paramètre d’altitude avant de vous lancer dans la course en montagne. Soyez humble lorsque vous abordez la montée. Vous pouvez marcher sans problème lorsque vous faites de la course en montagne. Si vous pensez ne pas arrêter de courir, vous vous épuisez rapidement et n’arrivera pas au bout de votre course. Vous pouvez marcher de manière efficace. Pour vous aider dans votre course, vous avez la possibilité d’utiliser des bâtons qui vous apporteront une aide considérable. Dans les écoles de course, les élèves peuvent bénéficier de l’apprentissage de l’utilisation des bâtons de course. Vous aurez bien besoin de ces bâtons en montée mais il faudra savoir comment les utiliser de manière optimale. La technique la plus facile d’utilisation de ces bâtons consiste à s’en servir en simultané. Cette technique consiste à planter les bâtons au moment où vous effectuez un pas. Vous pouvez aussi les planter en alternance, mais il vous faut faire de la pratique avant.

Bien aborder la descente

Tout comme la montée, vous devez aussi réussir à bien aborder la descente. Vous pouvez perdre la course en descente si vous n’avez pas de bonnes techniques. Semblable en ski, vous devez engager votre descente. Lorsque vous courrez en descente, évitez de vous pencher en arrière. Beaucoup de personnes ont tendance à faire ce mouvement pour ralentir alors que ce n’est pas le cas. Vous n’arriverez plus à vous engager. Ne retenez pas vos articulations et vos muscles en faisant des mouvements qui ne vous apportent rien. Vous devez placer votre buste en avant pour plus d’engagement. Vous serez ainsi plus réactif au niveau de vos appuis. Comme ça, vous pouvez éviter facilement de tomber pour ne pas se blesser. Faites jouer l’avant de vos pieds pour avoirs des appuis rapides. En cas d’accident, les foulées seront limitées.

Quelques conseils concernant les dangers et les risques

Courir en montagne n’est pas sans risque. Il existe bel et bien des dangers que vous pouvez faire face. Les risques principaux concernent les intempéries. En haute altitude, il se peut que de fortes pluies s’abattent soudainement. Renseignez-vous sur le temps qu’il fait avant d’entamer une course en montagne. Lorsque les pistes deviennent humides, elles deviennent très glissantes et deviennent dangereuses. N’hésitez pas à signaler à vos proches votre heure d’arrivée au cas où. L’idéal est de faire de la course en montagne à plusieurs pour avoir aucun risque. Si l’itinéraire que vous avez choisi devient trop difficile ou que vous avez été blessé, vous pouvez emprunter des itinéraires parallèles pour facilement vous rapatrier.

Si vous n’avez pas de chaussures de course de qualité, vous vous rendez chez le podologue, le médecin du genou ou le médecin de la hanche. Tous les pieds roulent vers l’intérieur lorsque la plante du pied touche le sol. Vous devrez examiner la durée et le lieu de vos courses, votre type de pied et votre démarche, ainsi que l’endroit où vous devez acheter vos chaussures de course. Il est important de s’assurer que la semelle fléchit facilement là où le pied fléchit. Il est utile de connaître les différents types de chaussures de course à pied avant de les acheter. La règle empirique ou la pensée moyenne à prendre en considération lors de l’achat de ces chaussures de course est de comprendre qu’une chaussure de trail running est généralement utilisée sur un sentier, dans une zone qui présente un terrain plus accidenté que celui qu’un coureur moyen de ville ou de salle de sport connaîtrait. Vous constaterez que les chaussures de trail running ont un talon plus bas ou plus faible que la moyenne des coureurs. Pour ce type de course, vous devrez trouver le meilleur coureur de trail pour répondre à vos besoins individuels sur www.clubaltitude.fr.

Une paire de base est parfaite pour ceux qui courent moins de 10 miles au total, répartis sur quelques jours de la semaine. Une bonne paire de chaussures de course peut constituer un investissement important, dont le style et la fonction peuvent varier. Si vous vérifiez quelques points lors de l’achat de chaussures de course à prix réduit pour femmes, vous pourrez facilement trouver la paire qui vous convient. Les éléments clés d’une paire de chaussures de course parfaite sont l’amortissement, la stabilité et la durabilité. Trouver la paire de chaussures de course parfaite est à la fois une question de science et d’art, avec une bonne dose de recherche. C’est la clé, il n’y a pas de meilleure paire de chaussures de course pour tout le monde. Avant d’acheter, sachez que certains modèles pour hommes et femmes peuvent sembler identiques à votre paire actuelle ou ressembler beaucoup au modèle de l’année dernière à prix réduit.

Une chaussure de course doit absorber les chocs et contrôler les mouvements, tout en offrant souplesse et durabilité. Les chaussures avec contrôle des mouvements sont particulièrement recommandées pour les femmes ayant les pieds plats. Une chaussure avec contrôle offre une bonne adhérence lorsque la femme est en mouvement ou à l’arrêt, réduisant ainsi les blessures aux pieds et les chutes.

La chaussure de course qui a gagné en popularité est une chaussure de contrôle des mouvements. De nombreuses entreprises font des études de marché, voient quel type de chaussure vous êtes le plus susceptible d’acheter, ce que vous n’appréciez pas, pour mentionner deux considérations. Elles ont réparti les choix entre le type de pied ou le type de chaussure que vous préférez, en se référant à l’amortissement ou à la légèreté.

Les marques populaires comme Adidas, New Balance, Nike et Reebok offrent souvent de bonnes remises pour se débarrasser de leur ancien stock. Nike Air a été le premier à incorporer une bulle d’air dans le talon de la chaussure.

Août 1954, trois membres d’une même famille, deux frères et une soeur, dévissent à la Lex Blanche (bassin de Tré-la-Tête). Le corps d’un des frères n’est pas retrouvé…
Septembre 2007 le lieutenant Jean-Pierre Mirabail du PGHM de de Chamonix grimpe le mont Tondu, pour chercher les restes d’un squelette que deux alpinistes venaient de découvrir.

«En bordure du glacier, au milieu des pierres et des rochers, j’ai vu ces quelques os, un bras momifié, des bouts de corde et un vieux crampon tout rouillé. J’ai tout redescendu dans un sac», raconte le gendarme Mirabail. La texture du cordon de chanvre utilisé par les alpinistes dans les années 40-50 lui indique que ce squelette n’est pas tout jeune : «Je me suis dit : « Avec ça, tu ne vas pas aller bien loin. » En même temps, je me faisais un devoir d’aller jusqu’au bout pour rendre ce corps à sa famille.» Intrigué mais réaliste, il alerte donc la brigade de recherches de Chamonix, la cellule d’investigations criminelles d’Annecy et le procureur de Bonneville : «On décide de mener des investigations scientifiques sur les os. On demande aussi un examen anthropologique pour connaître le sexe et l’âge.»

Paul Bétaille avait bien du mal à contenir son émotion lors de la cérémonie organisée pour son départ au PGHM du Versoud.
Arrivé au PGHM en août 2004, il a d’abord été l’adjoint d’Emmanuel Quiblier, avant de prendre le commandement du peloton un an plus tard. En présence du Colonel Lecouffe, commandant du groupement de gendarmerie de l’Isère, et de nombreux représentants du monde de la montagne il a loué les qualités exceptionnelles et le dévouement de ses hommes, et en particulier Dominique Létan et Pierre Durand qui l’ont assisté dans son commandement pendant ces années.

De nombreux gendarmes n’ont pas pu assister à cette fête de départ ce jour-là, appelés sur de nombreux secours. Deux accidents de VTT à Venosc, un accident de vol libre en Chartreuse, la recherche des deux alpinistes disparus au Râteau … nous rappelant ainsi la mission indispensable dont ils ont la responsabilité.
Une page du PG se tourne. Un nouveau patron arrive début août, quant à Paul Bétaille, après une période de vacances bien méritée dans sa maison du Sud-Ouest, à l’écart du téléphone et d’internet, mais avec Christelle et les quatre (bientôt cinq) enfants ! il va prendre le commandement de la compagnie de St Jean de Maurienne. La « vraie » gendarmerie, nous dit’il avec humour. Il en va ainsi du cursus des officiers de gendarmerie dont le passage en PGHM reste toujours un temps très fort dans une carrière.

Durant ses trente ans de « carrière », Patrick Berhault a collectionné les réalisations originales, les premières spectaculaires et les entreprises d’envergure, tout en imposant son humanité, son humilité et son éthique. Personnage hors norme, il était en quelque sorte unique. Un artiste de la verticale et de l’altitude.
La « trace » qu’il a laissée restera longtemps gravée aussi bien dans les neiges himalayennes, le granite du massif du Mont-Blanc, le calcaire des falaises du sud et le souvenir des gens qui ont croisé sa trajectoire.

Derrière cette trace, ou plutôt ces traces, tant il a ouvert de voies, on devine un homme d’une sacrée carrure et d’une qualité rare.

Qui était Patrick Berhault, cet héros adoubé et vénéré de plusieurs générations d’alpinistes et de grimpeurs, amateurs comme professionnels ? Et pourquoi faisait-il l’unanimité, ou presque, dans un milieu où mesquineries et jalousies sont monnaie courante ? C’est à ces questions que nous nous proposons de répondre en dessinant un portrait intimiste, de l’homme plus que de l’athlète d’altitude. Pour ce faire, nous avons demandé à Patrick Edlinger, son ami de toujours, d’être notre « guide ». Avec lui nous déterminerons les étapes les plus significatives de la carrière de Patrick, celles qui permettent de bien comprendre sa personnalité, ses engagements et ses choix. Et avec lui nous irons à la rencontre des témoins, connus ou non, susceptibles de donne d’apporter un éclairage plus complet.

Les sports de nature sont aujourd’hui une composante incontournable des pratiques sportives. Le législateur a d’ailleurs pris acte de cet enjeu en consacrant, dans la loi du 6 juillet 2000 sur le sport, un titre spécifique aux sports de nature. Cette loi est désormais codifiée (ordonnance du 23 mai 2006).
Le classeur Le droit des sports de nature se propose donc de mettre en évidence et de rassembler, afin d’en donner une vue d’ensemble, les questions juridiques liées au développement, à l’organisation et à la pratique de ces sports.

Il dresse un panorama des règles applicables et fournit des outils et des informations pratiques à destination de l’ensemble des acteurs de ces activités (collectivités territoriales, fédérations et associations sportives, professionnels de l’encadrement, universités, etc.). Afin de donner au lecteur un outil actuel, ce classeur fait l’objet de mises à jour annuelles. En outre, tout changement important du droit applicable aux sports de nature sera signalé dans le cadre d’une mise à jour exceptionnelle.

A l’heure du bilan de la saison d’été en montagne, les professionnels rhônalpins jugent la destination montagne nettement en perte de vitesse. L’Observatoire du Comité départemental du tourisme en Isère estime la montagne moins attractive que par le passé, tandis que l’association de la GTA avance le fait d’une offre montagne peu lisible.

Les observateurs ne semblent pas surpris, mais tout de même : apparemment, les Français ont moins le goût de la montagne estivale qu’hivernale. Pouvoir d’achat déclinant et météo déconcertante ont certes marqué la saison 2008, mais plus profondément, selon le bilan Ipsos Rhône-Alpes Tourisme de la saison estivale 2008, la montagne manque d’attractivité. Elle serait en perte de vitesse pour l’hébergement hôtelier, enregistrerait des baisses dans les activités de loisirs, et l’hébergement collectifs pratiquerait des tarifs trop élevés en station.
Un constat que corrobore l’Observatoire du comité départemental de tourisme de l’Isère : la destination montagne « occupe le dernier rang avec 17 % des nuitées françaises ; un résultat qui s’est érodé depuis des saisons… »

Patagonia s’engage dans la campagne présidentielle américaine et appelle ses concitoyens à voter pour l’environnement. Déjà menée en 2004 lors des élections présidentielles, Patagonia relance son appel « vote the environment » sur son site web, sur youtube et Facebook et via des publicités avec Jack Johnson, surfeur et chanteur engagé qui avait fait part de ses convictions politiques lors de son concert à Bercy.

L’objectif de cette campagne est triple : inciter les américains à s’inscrire sur les listes électorales, contribuer à une prise de conscience des enjeux environnementaux par les électeurs en montrant que la plupart des sujets de la campagne (indépendance énergétique, sécurité alimentaire, santé…) ont un lien direct avec l’environnement et les inciter à considérer le critère environnemental comme déterminant dans leur choix électoral.
Si l’engagement d’une entreprise en politique peut surprendre sur la forme, elle n’a rien d’étonnant sur le fond. Le propriétaire fondateur de Patagonia, Yvon Chouinard, est un environnementaliste convaincu : « Je suis très pessimiste quant à l’avenir du monde. Ma vie durant, je n’ai fait que constater une détérioration croissante de tous les processus fondamentaux qui régissent la vie sur notre planète. Si les gouvernements, le secteur privé et les scientifiques ne coopèrent pas rapidement pour trouver des solutions à la dégradation de l’environnement, la Terre perdra sa faculté de se régénérer (…) Nous sommes responsables de la crise environnementale et sommes ceux qui doivent et peuvent agir. Si vous votez pour l’environnement, vous voterez pour le bon candidat. »

Paul Yonnet, sociologue et ancien alpiniste, auteur de « La Montagne et la Mort » (Éd. de Fallois, 2003) revient sur ce vaste sujet dans un article du quotidien La Croix.
Extrait : « La naissance et l’expansion de l’alpinisme au XIXe siècle correspondent à l’époque où la religion chrétienne en Occident commence à perdre de son importance, au moment où la mort cesse d’être une connaissance révélée.

Comme si les amoureux des sommets désiraient explorer eux-mêmes un univers situé aux confins même de la mort. Bien qu’animés de motivations parfaitement rationnelles et pas du tout suicidaires, les passionnés d’alpinisme seraient à la fois attirés par le vertige physique et l’immense question métaphysique. »

Création de la Fondation René Desmaison

Créée dans le but de développer la solidarité et d’améliorer la vie des peuples en voie de développement en zone montagneuse, l’idée de cette fondation est née au retour d’une expédition au Pérou que René DESMAISON et son fils Pascal, qui n’avait alors que 16 ans, avaient réalisée en 1976.
Michel DESTOT, Député Maire de Grenoble co-présidera la fondation avec Joël GIRAUD Député Maire de l’Argentière La Bessée (Hautes-Alpes).

« C’est un honneur et un immense plaisir pour moi de co-présider avec mon ami Joël GIRAUD, cette initiative dont l’action devra permettre d’apporter à travers une aide notamment matériel et financière, un réel soutien dans un esprit de coopération, de respect des hommes et de leur environnement ». Michel DESTOT.

Plan du site