Le Parc Naturel Régional de Chartreuse vous accueille dans un cadre naturel de haute altitude préservé. La beauté de ses paysages d’altitude vous offre une mosaïque de paysages diversifiés. Représentant presque la moitié de la biodiversité de la France, le parc vous réserve des milieux naturels spectaculaires.

Une diversité de milieux naturels

Le Parc Naturel Régional de Chartreuse est constitué d’un massif préalpin calcaire culminant à 2082 mètres d’altitude. Situé dans le sud-est de la France, c’est le massif le plus petit des préalpes. Il dispose d’une multitude de milieux naturels exceptionnels grâce aux éléments topographiques et écologiques variés qu’il renferme : climat, relief, type du sol, etc.

Face à ces nombreuses conditions qu’il bénéficie, une diversité de milieux naturels s’est formée sur cet endroit. Ainsi, cela a provoqué la formation de reliefs spécifiques comme les longues falaises, les torrents, les grottes, etc.

Des milieux humides et des grands espaces forestiers sont également présents dans le parc. Sachant que ces endroits naturels renferment des espèces et une biodiversité spécifiques qui rendent la chartreuse un lieu très attractif pour les amoureux de la nature.

Une richesse faunistique

Le Parc Naturel Régional de Chartreuse présente une faune particulièrement riche. La variété d’habitats permet d’observer de nombreuses espèces animales malgré son petit territoire. Les études réalisées ont permis d’observer que presque la moitié des espèces de mammifères et d’oiseaux recensés en France sont présent dans le parc.

Les zones humides abritent le plus grand nombre d’espèces protégées. C’est le refuge des espèces d’oiseaux et d’amphibiens comme l’aigle royal, la gélinotte des bois, la chouette de Tengmalm, la grenouille rousse, la salamandre tachetée, etc.

Les espaces forestiers et les prairies montagnardes sont surtout fréquentés par les cerfs, les chamois, les chevreuils, les mouflons, etc.

La présence de ces espèces emblématiques dans le parc a favorisé la préservation de ce site particulièrement riche en faune, afin de permettre au visiteur d’apprécier au mieux la splendeur de cet endroit.

Une végétation variée

Le massif de la chartreuse regorge plus de 2000 espèces recensés, c’est-à-dire qu’ils recouvrent le tiers des espèces végétales en métropole.

L’omniprésence d’espaces herbeux sur le massif permet de trouver des espèces emblématiques rares, tels que le thé des Alpes. Ainsi, les zones humides abritent également des plantes protégées comme par exemple la belle Orchis de traunsteiner, ou la Séneçon des marais.

L’association des espèces végétales est ici exacerbée, car plusieurs plantes spécifiques sont liées telles que le Millepertuis nummulaire et la Potentielle luisante.

Abritant la plus importante réserve naturelle des Hauts-Plateaux de France, le Parc Naturel Régional du Vercors se situe à plus de 1000 mètres d’altitude entre les départements de l’Isère et la Drôme. Se démarquant grâce à ses nombreuses richesses naturelles, le Parc possède un patrimoine exceptionnel grâce à ses paysages impressionnants, ses falaises de calcaire ou encore ses grottes de calcaire.

Un panorama des plus spectaculaires à contempler

En été comme en hiver, le Parc Naturel Régional du Vercors est un site à découvrir grâce à son enchantement, sa biodiversité riche et luxuriante, mais surtout ses gouffres et ses gorges profondes. Au-delà des hautes falaises de calcaires, hauts-plateaux et chaines de montagnes qui le constituent, vous pourrez admirer un paysage sauvage et grandiose, à couper le souffle.

S’étendant sur plus de 200 000 hectares (dont 17 000 ha), le site démuni de routes ou de villages représente aujourd’hui un espace vierge et indompté idéal pour les séances de randonnées. Le parc est également traversé par des routes touristiques d’exception comme le col de Rousset, les gorges de la Bourne ou encore le canyon des Ecouges.

Un territoire d’exception pour les amoureux de la nature

Le Parc naturel régional du Vercors est également reconnu pour sa biodiversité extrêmement riche et variée ce qui le rend idéal comme destination nature. Sa faune abondante abrite une multitude d’espèces animales, dont quelques centaines d’oiseaux nicheurs ainsi que près d’une vingtaine de variétés de reptiles et d’amphibiens. Vous y découvrirez également plus de 60 espèces de mammifères, dont de grands ongulés comme le chevreuil, le sanglier ou le chamois.

Sa flore luxuriante quant à elle referme plus de 70 espèces d’orchidées, sans compter les 85 variétés de plantes protégées. Le site dispose d’un patrimoine unique au monde que vous pourrez admirer au cœur de ses vallées verdoyantes, ses pâturages et ses milieux forestiers.

Des activités diversifiées et passionnantes à pratiquer

Afin de contempler en bonne et due forme ce site grandiose ou de profiter de ses nombreux recoins, le Parc met à disposition des visiteurs un large panel d’activités. Le site est d’ailleurs une destination de choix pour les amateurs d’activités en plein air. Durant la saison estivale, arpentez ses sentiers dénués de route en randonnée pédestre, à cheval ou à vélo.

Les fans de sensations fortes trouveront leur bonheur grâce à des activités extrêmes comme le canyoning, le parapente ou encore l’escalade. Dans ses milliers de cavités, vous pourrez également pratiquer la spéléologie.

Pendant la saison hivernale, vous pourrez parcourir les pistes enneigées en raquettes ou en skis nordiques dans ses différentes stations de ski. Pour finir, n’oubliez pas de parcourir les sentiers GTV ou Grande Traversée du Vercors. Leur avantage ? Ils sont praticables tout au long de l’année.

Grenoble est une ville du grand Sud-Est français, la plus grande agglomération de la région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle bénéficie d’un climat océanique doux toute l’année et d’un bel emplacement dans la plaine au confluent de l’Isère. Outre sa situation géographique privilégiée, Grenoble dispose de nombreux sites touristiques qui méritent le détour : sa vieille ville, ses musées et le fort de la Bastille.

Découvrir la vieille ville de Grenoble

La vieille ville de Grenoble est un endroit pédestre propice à la randonnée en famille ou entre amis. Se trouvant tout proche de l’Isère, endroit offrant un cadre de vie agréable et apaisant, la ville médiévale réserve une impressionnante découverte sur le patrimoine culturel de la région. Les bâtiments sont marqués par l’utilisation particulière de la brique, matériau de prédilection d’autrefois. Visiter Grenoble en faisant un petit détour dans sa vieille ville, vous avez l’opportunité de découvrir l’histoire passionnante du quartier épiscopal et le quartier delphinal.

Le fort de la Bastille

L’un des plus beaux panoramas des Alpes et l’une des rares dans l’histoire des forteresses du début du XIXe siècle, le fort de la Bastille fait partie du top 10 des lieux incontournables à visiter Grenoble. Les touristes et vacanciers apprécient particulièrement la vue saisissante sur la ville, son agglomération, et ce, jusqu’au sommet vertigineux du mont Blanc. Ensuite, vous pouvez entrer dans le cavalier casematé, chambre maîtresse de la défense du fort, avec ses voûtes de pierre qui abritent les canons. Ce n’est pas tout, le fort de la bastille est très prisé pour le téléphérique de Grenoble, l’une des premières télécabines citadines au monde après Cap Town et Rio de Janeiro au Brésil.

Visiter les musées de Grenoble

Visiter Grenoble serait incomplet sans la visite de ses musées. Certes, il est impossible de visiter en une seule fois toutes ses innombrables galeries d’art. Toutefois, les amoureux d’œuvres d’art ne manquent pas de faire un détour par le Musée de Grenoble. En voyant son architecture contemporaine, on dirait un musée récent. Mais il ne fait que tromper les visiteurs et les invite à apprendre beaucoup plus sur sa longue histoire qui remonte en 1798. À l’intérieur, vous pouvez admirer à la fois des collections d’art ancien et d’art moderne. Vient ensuite le Musée de la Résistance et de la Déportation, un lieu qui recèle l’histoire de la résistance française lors de la Seconde Guerre mondiale. Cette liste est loin d’être limitative, Grenoble possède plusieurs autres musées.

Le Groupe Militaire de Haute Montagne est actuellement en Antarctique pour son challenge « 7 continents / 7 alpinismes ». Très bien ! Mais quel est ce groupe de militaires qui fait de l’alpinisme toute l’année ? Pourquoi l’Armée française envoie t-elle des militaires aux quatre coins du globe faire du ski et de l’escalade ? Quel sont les missions du GMHM ? Quelques questions que nous leur avons posées lorsqu’ils sont venus à Grenoble en octobre dernier nous présenter leur dernière expédition au Groenland.

Le groupe militaire de haute montagne est composé d’une dizaine d’hommes, officiers, sous-officiers, et engagés volontaires de l’Armée de Terre. Il constitue l’équipe de pointe de l’alpinisme et des expéditions lointaines de l’Armée de Terre dont il symbolise les valeurs fondamentales : courage, esprit d’équipe, ténacité, panache et professionnalisme.

Les armées ont toujours été pionnières dans le domaine de l’exploration et de l’aventure et particulièrement  dans le domaine de la montagne. En effet c’est le capitaine Clerc du 159éme bataillon d’infanterie alpine de Briançon qui importera le ski dans les armées en 1902 créant la première école de ski française. Plus tard l’Ecole Militaire de Haute Montagne qui s’installe à Chamonix en 1932 sera la première école nationale à délivrer l’enseignement de l’alpinisme. Dans les années 70 le général Laurens commandant  la toute nouvelle 27eme division alpine passionné par la montagne, comprenant que l’alpinisme de haut niveau demande du temps et des moyens envisage de créer une structure adaptée avec “une élite d’alpinistes militaires capables de rivaliser avec les meilleurs dans le but de réaliser de grandes ascensions sur les massifs du monde entier”. Il va alors confier cette mission  au capitaine Jean Claude Marmier déjà célèbre pour ses premières (voie des Plaques face Nord-Ouest de l’Ailefroide) et ses hivernales (éperon Croz avec Georges Nominé en 1971).

La sélection aura lieu en septembre 76. Devant le programme certains stagiaires ne poseront feront demi-tour immédiatement. Le dernier jour alors qu’ils sont au refuge d’Argentière, le Capitaine Marmier leur donne rendez-vous le lendemain au refuge du Couvercle. Libre à eux de choisir une voie dans les faces Nord du Triolet, des Courtes, des Droites ou de la Verte. A l’issu de ce stage le Groupe est officiellement créé, son effectif est alors fixé à dix.

Les missions

Tester et expérimenter

Les domaines d’expérimentation sont variés : l’alimentation, les fibres textiles, les télécommunications avec la gestion de l’énergie par panneaux solaires, l’adaptation à la haute altitude, etc. L’objectif est d’optimiser les techniques et comportements en montagne et en zone polaire.

Transmettre, conseiller, former

Le savoir-faire accumulé par le GMHM va bénéficier ensuite aux unités de l’Armée française engagées dans des conflits en terrain de montagne comme actuellement en Afghanistan par exemple. Toute l’année, le GMHM participe à des formations à l’Ecole Militaire de Haute Montagne.

Faire rayonner la France et l’Armée de Terre

Le GMHM permet de donner une image jeune et dynamique de notre armée. Les nombreuses expéditions à l’étranger sont également l’occasion de développer des relations avec d’autres armées, des organisations civiles ou des organismes d’état.

Les conférences Grenoble versant montagne redémarrent le mercredi 17 septembre à 20h30 à la Maison du Tourisme avec un très beau film de Didier Bertrand « Trek au Pamir afghan ». Après la projection, Didier répondra aux questions du public. Cette première conférence de la rentrée est le fruit d’un partenariat avec le Grand Bivouac.

En juillet 2005, Didier Bertrand et deux compagnons partent au nord-est de l’Afghanistan, dans le corridor du Wakhan parmi les sommets du Pamir, aux confins du Tadjikistan, de la Chine et du Pakistan.

Leur but : réaliser la première d’un trek en boucle reliant les vallées du petit Pamir et du grand Pamir. Négociant leurs bêtes de sommes d’étape en étape et franchissant les plus hauts cols sous la neige, les voici partis de villages Wakhis en campements de yourtes Kirghizes. Et peu à peu, l’aventure sportive se transforme en une expérience humaine exceptionnelle.

Par la sincérité de son propos et la densité des rencontres qu’il relate, le film de Didier Bertrand évite tous les poncifs du film de voyage pour nous proposer un regard à la fois simple, pertinent et généreux sur les communautés et les paysages rencontrés. A voir absolument.

Bio Didier Bertrand:

Né à Nanterre en 1974, Didier Bertrand s’est très vite passionné pour les sports de plein air. Une fois obtenu son diplôme de moniteur de kayak, il devient l’été animateur et guide de rivière dans les Pyrénées et les Alpes. Sa passion pour les eaux vives le pousse à parcourir l’Europe à la recherche des plus belles rivières. Simultanément, il poursuit puis achève ses études d’ingénieur à Montréal, au Canada. Cette expérience confirme son attrait pour les autres cultures et il part alors en Amérique du Sud, où il parcourt sac au dos Équateur, Pérou et Bolivie. Les voyages et les treks en solitaire s’enchaînent : Madagascar, Ladakh, Nouvelle-Zélande…
En 2003, il délaisse son poste d’ingénieur et part treize mois sur les routes de la soie. Après deux mois en Iran, il entre en Afghanistan et tombe en amour pour ce pays et ses habitants avant de continuer sa route en Asie centrale et en Chine. Rentré en Europe par le Transsibérien, il visite ensuite le Moyen-Orient.

La 3e édition des Rencontres Paysannes aura lieu le samedi 27 et dimanche 28 septembre à St Bonnet-en-Champsaur (Hautes-Alpes). L’occasion de partager avec les agriculteurs du Champsaur & Valgaudemar leur métier et leur passion du territoire.

Un programme résolument contemporain autour de randonnées accompagnées, présentation de films, spectacles, concours bovin, visites de fermes, ateliers, goûter avec les produits locaux…
Et des nouveautés : outre le lait, les Rencontres Paysannes s’élargissent aux autres productions agricoles, proposent des rencontres-débats sur des thèmes d’actualité et vous invitent à la projection en avant-première du dernier film de Raymond Depardon’ La vie moderne’.

Sans oublier les menus spéciaux ‘Au fil du lait’ proposés par les restaurateurs partenaires les week-ends du 19 au 21 et du 26 au 28 septembre et qui vous feront découvrir des recettes originales à base de produits laitiers.
Deux journées exceptionnelles, un programme riche et une ambiance festive…à partager en famille !

L’association nationale pour l’étude de la neige et des avalanches, basée à Grenoble, a subi une profonde réorganisation pour faire taire les querelles internes et satisfaire davantage les professionnels de la montagne. L’ANENA de nouveau en piste ! Après deux ans de turbulences et de déchirements internes qui ont mis en péril son existence même, l’ANENA repart avec de nouveaux statuts et une organisation articulée autour de trois axes.

Un conseil scientifique et technique piloté par le spécialiste en nivologie, Richard Lambert, un club des partenaires réunissant les industriels impliqués dans la conception et la distribution des moyens de protection contre les avalanches et un conseil d’administration où tous les acteurs de la montagne, élus, professionnels, fédérations et pratiquants sont représentés.

La Fédération Française des Clubs Alpins et de Montagne est partenaire de l’hôpital (CHU) et de l’Université Joseph Fourrier de Grenoble pour une étude scientifique clinique sur les facteurs de l’intolérance à l’altitude. Il s’agit de comparer des personnes qui au cours d’une expédition ou d’un treck ont été victimes de MAM ou d’oedèmes, avec des sujets revenus en bonne santé.

Le laboratoire REX-S recherche des volontaires ayant montré des signes d’intolérance à l’altitude (oedème pulmonaire ou cérébral, mal aigu des montagnes sévère), pour une étude de recherche visant à les comparer à des sujets bons répondeurs à l’altitude, de même âge et gabarit.
Si au cours des expéditions/treks auxquels vous avez participé, un de vos compagnons de cordée ou vous-même avez présenté des signes d’intolérance à l’altitude, nous vous invitons à nous contacter pour de plus amples informations.

Ce protocole de recherche vous apportera :
• un bilan de vos capacités d’adaptation à l’altitude,
• un bilan de votre capacité physique,
• une connaissance de la prévention du risque en altitude.

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